tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post3200734601133411060..comments2024-03-22T20:09:50.360+01:00Comments on Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste: La Justice des hommes - The Talk of the Town, George Stevens (1942)Justinhttp://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-53760357325954700622014-04-26T13:12:48.003+02:002014-04-26T13:12:48.003+02:00Top, comme d'hab !Top, comme d'hab ! alexis de vanssayhttps://www.blogger.com/profile/08487289514498765275noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-39336368861712162662014-04-23T22:30:02.814+02:002014-04-23T22:30:02.814+02:00Je suis assez d'accord sur le côté didactique ...Je suis assez d'accord sur le côté didactique un peu appuyé mais j'aime justement la façon dont le jeu léger (mais quand même moins décontracté que dans d'autres rôles ouvertement comiques) de Cary Grant contrebalance la lourdeur que pourrait avoir le propos. C'est d'ailleurs pour cela que l'enquête de la dernière partie parait un peu expédiée (et moins captivante d'où peut être les 20 minutes de trop) passé l'ouverture inquiétante Stevens cherche constamment à montrer les personnages sous un jour plus positif allant au delà des apparences (idem pour Colman qui de collet monté devient bien plus sympathique au fur et à mesure) donc ce n'est pas forcément très fin quand ça passe juste par le discours, mais en se reposant sur le charisme du casting ça passe plutôt très bien pour moi.Justinhttps://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-15224083142233921422014-04-23T21:55:57.888+02:002014-04-23T21:55:57.888+02:00Stevens est assez fort pour pratiquer le mélange d...Stevens est assez fort pour pratiquer le mélange des genres . Son Penny Serenade est sur ce point, un modèle, jouant sans cesse entre comédie et mélo. Et sa direction d'acteur, on ne le dit jamais assez, vaut largement celle d'un Cukor si souvent cité et plébiscité.<br />Mais là, j'ai trouvé la partie didactique et blablas autour de la justice, assez ennuyeuse quand même. <br />Il faut dire que le scenario ne tient pas très bien (le gardien en 2 articulations, c'est une de trop. La filature du vendeur de borstch est une ruse scénaristique bien pauvre, etc). Et le traitement du personnage de Cary Grant au cours du film est un peu léger. Il paraît bien décontracté pour un évadé recherché et promis au lynchage. D'autant qu'avec ce début (la fuite dans la nuit et la pluie), ça frappait plutôt fort. Le personnage de Colman en revanche paraît plus subtilement traité (et joué).<br /> Bref, j'ai trouvé que ça se traînait un peu et que ça n'échappait pas à une certaine pompe. Il dure quasi 2 heures. 20 mn de moins n'auraient pas nui. <br /> Lisa Fremontnoreply@blogger.com