tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post581496578167012885..comments2024-03-22T20:09:50.360+01:00Comments on Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste: The Unsuspected - Michael Curtiz (1947)Justinhttp://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-33101800041664326882018-01-29T00:40:35.975+01:002018-01-29T00:40:35.975+01:00Pas lu le roman je lançai vraiment la question au ...Pas lu le roman je lançai vraiment la question au conditionnel merci de la précision ;-) Donc le boulot de Curtiz est d'autant plus à saluer vu qu'il transcende les scories du matériau de base.Justinhttps://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-72614365008815323362018-01-28T22:37:44.938+01:002018-01-28T22:37:44.938+01:00Beh non. Le roman n'est pas si élaboré. Le fil...Beh non. Le roman n'est pas si élaboré. Le film, formellement, lui est infiniment supérieur. Et justement, ses faiblesses scénaristiques, il les doit à un livre écrit sans rigueur, où les manques sont masqués par des rebondissements grossiers (hélas, le film en suit la majorité)<br />Autre génial moment de pure mise en scène: le plan du meurtre avec le disque qui tourne.<br />On ne dira jamais assez combien Michael Curtiz est grand. A mille lieues au-dessus du rôle de "bon petit artisan" dans lequel on le fige depuis des décennies.<br />Avec un script plus "tenu" ou plus épuré, ce film aurait pu être chef-d'oeuvre. <br />Mais, des fois, Charlotte Armstrong, elle pète les plombs (et la plume). Anonymousnoreply@blogger.com