tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post9010986538631927612..comments2024-03-22T20:09:50.360+01:00Comments on Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste: Stardust Memories - Woody Allen (1980)Justinhttp://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comBlogger7125tag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-54488791470743468882016-09-27T12:48:19.224+02:002016-09-27T12:48:19.224+02:00Après malgré le bémol sur Intérieurs j'aime qu...Après malgré le bémol sur Intérieurs j'aime quand même beaucoup le film (vraiment bouleversant dans sa dernière partie) mais je trouve qu'Allen sera plus subtil dans ses oeuves Bergmanienne suivantes. Pour Stardust Memories malgré les emprunts je trouve aussi que l'émotion fonctionne quand même, les thèmes abordés s'inscrivent aussi complètement dans l'oeuvre et la vie personnelle de Woody Allen. Tout ce qui a trait à la relation amour/haine avec Charlotte Rampling est très intense.<br /><br />Après je n'ai pas revu Huit et demi depuis des lustres (j'ai le bluray qui traîne)donc je vais me rafraîchir la mémoire aussi même si j'avoue que Fellini est un cinéastes qui me touche moins que Woody Allen dans l'ensemble.Justinhttps://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-48712823922678706142016-09-27T10:43:39.775+02:002016-09-27T10:43:39.775+02:00Malgré l'ombre de Bergman, je trouve qu'In...Malgré l'ombre de Bergman, je trouve qu'Intérieurs tient la route en tant que film autonome et finit par émouvoir (en tout cas m'avait touché) - d'ailleurs, plusieurs des idées d'Intérieurs (les monologues, l'action en huis clos) ont été reprises par Woody dans d'autres films (Maris et femmes, September...) ce qui prouve que Woody a pu faire sien plusieurs traits caractéristiques du film. Dans Stardust Memories, au contraire, la copie des idées de Huit et demi de Fellini est tellement prononcée (jusqu'à inclure la scène du train que Fellini avait filmé mais qu'il n'avait finalement pas monté dans son film), qu'il s'agit pour moi d'un film-hommage qui a du mal à exister indépendamment de son modèle et donne surtout envie de revoir Huit et demi.<br />StrumAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-6259417259167182492016-09-26T22:49:22.243+02:002016-09-26T22:49:22.243+02:00Salut Strum. Bizarrement ça m'a moins gêné que...Salut Strum. Bizarrement ça m'a moins gêné que l'imagerie Bergmanienne forcée de "Intérieurs" par exemple, là même si l'ombre de Fellini plane je trouve que Woody Allen parvient quand même à apposer sa touche loufoque.Justinhttps://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-39343146388182068462016-09-26T17:49:03.576+02:002016-09-26T17:49:03.576+02:00Hello Justin. Personnellement, je n'aime pas t...Hello Justin. Personnellement, je n'aime pas trop ce Woody Allen, que je trouve un peu inégal et complaisant. Surtout, l'influence du Huit et demi de Fellini y est marquée et quand on compare les deux films, il n'y a pas photo : Fellini l'emporte haut la main.<br />StrumAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-6821635315183492402016-09-20T03:32:42.872+02:002016-09-20T03:32:42.872+02:00Pour autant qu'il m'en souvienne, le film ...Pour autant qu'il m'en souvienne, le film à sa sortie avait été reçu, tant par la critique que par le public, comme une simple tentative de Woody Allen - et encore, une tentative seulement moyennement réussie! - pour renouer avec la comédie, après ses premiers films "sérieux". Sans doute la dimension autobiographique, il est vrai moins clairement affirmée que pour Annie Hall, n'avait-elle pas sauté aux yeux de tout le monde; et surtout, sans doute l'éducation de notre regard de spectateurs avait-elle encore besoin d'être affinée!Tororohttps://www.blogger.com/profile/16635264152016312595noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-20528324462797743482016-09-19T12:38:12.905+02:002016-09-19T12:38:12.905+02:00C'est vrai que le film pouvait surprendre à l&...C'est vrai que le film pouvait surprendre à l'époque et ce mode de narration alambiqué était sans doute assez inédit dans le cinéma grand public américain (de tête je vois le Catch 22 de Mike Nichols ou Abattoir 5 de George Roy Hill qui opèrent par une même narration flottante avant le Woody Allen) alors que c'était plus courant en Europe avec Alain Resnais, Fellini justement ou un Nicolas Roeg. <br /><br />Et c'est drôle comme certains éléments frappent après l'actualité de moeurs mouvementé d'Allen par la suite, je pense à ce passage où Charlotte Rampling névrosée l'accuse de regarder d'un peu trop près sa cousine de 14 ans. Justinhttps://www.blogger.com/profile/16175293625510562844noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7048296088400132855.post-72361124918897320852016-09-19T09:25:39.562+02:002016-09-19T09:25:39.562+02:00Quand je l'ai revu récemment, j'ai réalisé...Quand je l'ai revu récemment, j'ai réalisé - à ma grande confusion - que lors de sa sortie en salles, je n'y avais littéralement rien compris, ayant eu du mal à faire le tri entre les séquences qui appartiennent au présent de Sandy Bates, à ses souvenirs, aux films qu'il a tournés et à celui qu'il a en projet... et, pire: étant passé à côté du caractère central de la relation de Sandy avec Dorrie, en qui je n'avais vu qu'une figure caricaturale parmi d'autres, au milieu d'une galerie de personnages bouffons dans laquelle on se perdait. Il est vrai que c'était il y a trente-cinq ans, et je suppose que je devais être plus jeune alors. Il a fallu ce nouveau visionnage (qui a été suivi de plusieurs autres: cette fois, j'étais accroché!) pour que je le range, comme il se doit, parmi les meilleurs Woody Allen.Tororohttps://www.blogger.com/profile/16635264152016312595noreply@blogger.com